Le tourisme et le développement économique


En matière d’équipement de nos plages, le bilan de l’équipe de Mr Joffre depuis plus de 20 ans est désastreux. En effet nous avons au PRADET la chance d’avoir près de 7 km de côtes dont 4 magnifiques plages (Le Monaco, les Bonnettes, les Oursinières, La Garonne).
 
Mr Joffre et ses élus n’ont rien trouvé de mieux que de leur retirer leur concession plagiste.
De fait nous n’avons sur nos plages aucun point d’eau ou restaurant permettant à nos enfants de se désaltérer ou d’attirer nos touristes autour d’une table au bord de l’eau.
LE PRADET "CITE BALNEAIRE" !!!
 
Je crois plutôt que nous faisons fuir nos touristes par notre manque d’accueil et que seuls les pompiers sont capables de donner un peu d’eau (est-ce bien là leur fonction ?)
 
Je propose donc de réhabiliter les plagistes et ce dans les règles de la DDE maritime afin que nos plages redeviennent accueillantes et dynamiques.
 
 
Lorsque je quitte la mairie en 1989, le trajet de la déviation est bouclé, dans les cartons. Tracé naturel et conforme à l’intérêt de nos deux communes, c’est en limite Nord du Pradet qu’elle chemine, jouxtant et en superposition avec la limite sud de la ville de la Garde. Ainsi était préservé le joyau, cette superbe zone, dit du Plan de La Garde – Le Pradet.
 
Il était possible alors de réaliser mon projet, mon rêve de toujours : l’aménagement, la réalisation d’un grand parc de loisirs naturel pour familles et scolaires. On peut tout imaginer : Equitation, plan d’eau, mini-golf, salle polyvalente de structure légère avec boulodrome couvert unique en département du Var.
 
Car on ne peut pas se contenter d’un tourisme d’été sur deux mois de l’année. Il faut créer l’outil qui fera sortir le Pradet de sa léthargie hivernale.
 
Patatras, toute cette perspective est obérée par le nouveau et récent tracé.
 
Nettement plus au sud, il coupe le plan en deux, et ce n’est pas innocent : car la politique urbanistique du Maire est inscrite en filigrane dans ce choix.

En effet, toute la partie Sud de la déviation devient ipso facto  constructible à terme, avec destruction de la plupart des terrains agricoles. Sur ce sujet capital, je vous encourage à lire (ou relire) mon article concernant l'urbanisme et l'environnement.
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :